L’équipe nationale du Cameroun humiliée par les Cap Verdiens.

  Il y a des défaites qu'on saurait accepter même si c'est contre la 65 nation au classement FIFA. Mais lorsque cela se passe d'une façon aussi humiliante ,il y a lieu de se poser des questions. On a vu une équipe sans âme, presque en débandade totale! Avec des joueurs qui n'avaient presque rien a foudre sur l'aire de jeu.  Que ne nous ont ils pas servis d'autres? Un George Mandjeck sans repère , complètement perdu dans un poste de latéral droit ou il n'a jamais réussir a faire une passe ou a contrer une attaque des requins bleus Cap Verdiens,bref un joueur qui se serait sentir mieux dans les gradins que sur l'aire de jeux. Un entraîneur criant a tue tête comme s'il ne se reconnaissait pas dans les hommes qu'il avait placés sur le terrain. Le revenant Achille Emana se marchant sur le ballon a la 50 eme minute de jeux dans un 2 contre 1 qui aurait pu changer la donne de la rencontre. Comble,la bourde de notre grand numéro 1 Idriss Carlos Kameni sur la balle du 2 a 0 Cap Verdien a la 62 minutes de jeux. Pourtant un ballon anodin,sans danger dont notre numéro un a laissé  filer  dans ses but scellant du même coup le sors de la rencontre. Une attaque Camerounaise sans coordination, un milieu de terrain sans aucune transmission et que dire de la défense? Paix a mon âme! La honte total. Voila une équipe qui se permet le luxe de se priver de ses meilleurs hommes! Un entraîneur fantoche qui préfère laisser un joueur(Lateral) de métier sur le banc de touche pour utiliser a sa place un figurant dont on a de la peine a croire qu'il soit professionnel. Un Team manager qui a pour rôle principale d'attiser les tensions entre les joueurs qu'il est sensé uni. Voila ainsi brosser le tableau de ce qui nous reste des lions domptables du Cameroun.
 Le Vieux! Le peuple vous laisse la politique alors arrangez-vous a nous rendre le foot. Un seul voeux le retour de Samuel Eto'o et le départ de tous les caïmans qui font désormais pleurer tous les fans des lions indomptables qui jadis étaient leurs uniques raison d’espérer.

Raoul